mardi, juin 05, 2007

Buenos Aires, les moments forts

Premier jour : une bonne auberge

La campagne électorale à Buenos Aires : des slogans malins qui laissent deviner une véritable réflexion politique


Les avenues de Buenos Aires : pour chaque traversée prévoir de l'eau en quantité suffisante et de bonnes chaussures. Toujours compter un quart d'heure du trottoir de départ au trottoir d'arrivée.

Les chutes d'Iguazu : ça passe

Punta del Este, Uruguay : la Bretagne sans les vagues



Les ruines des missions jésuites, sur les traces des premiers cultes vaudous



Buenos Aires, des rencontres improbables...


... des fous-rires bien sûr...


... une qualité de vie inestimable : tout l'Occident au prix Tiers-Monde, dans ton maxi - kiosque le plus proche



Quelques sponsors, rien d'alarmant
























La chasse d'eau Argentine : d'une antifonctionnalité aussi touchante que dépaysante.











Une terre d'artistes aussi,








et un potentiel créatif étonnant.













Buenos Aires, es bueno.

lundi, avril 02, 2007

Olé Hola

Salut les oufs !

c'est un lundi férié à Buenos Aires; Semana Santa oblige.... Heureusement j'ai l'impression qu'ils sont moins fanatiques ici qu'en Andalousie, j'ai pas entendu parler de gens qui meurent en portant des statues de Jésus ensanglantées, mais ma foi on ne sait jamais!
La vie coule tout doucement par ici, il y a des orages tous les soirs, ça énèrve les moustiques (on espère que ça va les noyer).
Nouvelles rencontres :
- le malade du kiosque en face de chez nous : un chevelu qui nous fixe avec les yeux ronds et la bouche ouverte quand on va acheter des clopes, je crois que je vais arrêter de fumer
- les trois (?!) concierges d'en bas de l'immeuble : ils se livrent une petite bataille interne pour savoir qui donnera le courrier, qui ouvrira la porte, qui débloquera l'ascenceur; j'ai l'impression qu'ils se font des petits coups de putes entre eux; en même temps c'est un peu surpeuplé au niveau de l'emploi dans la cage d'escalier, normal qu'ils se piquent le boulot...
- la communauté Casa Perón : une bande d'éxilés comme nous, qui vivent au style "auberge espagnole", des fois on se retrouve un peu fumées avec eux dans des boîtes de nuit comme dans les films, à l'autre bout de la ville, et c'est plutôt marrant
Ah, et puis on a un nouveau jeu, ça s'appelle "fais peur à tes voisins"; je vous explique le rollo : ce qui se passe c'est qu'on a une chaîne de télé qui transmet tout se qui se passe en bas de l'immeuble (d'où un suivi régulier de l'activité des concierges susmentionnés), et que par là même on voit les gens qui sonnent à la porte... vous imaginez la suite : à grands renforts de cris inhumains, on a réussi à faire flipper pas mal de monde par le biais de l'interphone, situé dans notre appart' de telle manière qu'on puisse en même temps visionner sur l'écran les différentes réactions des inocents visiteurs. Mais on abuse pas, c'est pas le moment de se faire virer.
Un autre truc aussi : on commence à gérer le logiciel d'édition musicale, ce qui veut dire qu'on peut rajouter des tonnes de trucs aux chansons pour faire croire qu'on a un batteur, un bassiste, bref c'est Rock'n Roll; les résultats bientôt, et cette fois ce sera un Myspace!
Voilà, à part ça tout roule, Buenos Aires pour les petites boules c'est cool, Emilie a commencé son stage aujourd'hui, moi je commence demain et bien sûr on vous racontera les détails importants ! ;)

Plein de bisous !

vendredi, mars 16, 2007

Yastà !

Eh ben nous y voilà de l'autre côte de l'Ocean... J'ai du mal à me rendre compte qu'on est sur un autre continent, j'ai juste l'impression d'être dans une Espagne où les gens sont juste tellement plus sympas...
Voilà 10 jours qu'on ecume la ville où l'air est suppose "bon"; bien pollue à mon goût mais curieusement, la ville en soi est bien plus propre que Marseille, pour donner un exemple au hasard.
On est installees comme des coqs en pâte avec ma petite Emilie, ça fait du bien aprés une semaine dans un hôtel de roots où les oreillers puent la mort. Finalement on n'a mis que deux jours à trouver le piso, qui est ultra-luxe avec une proprio trop sympa, c'est le pied!
Le quartier de Palermo alto, c'est exactement ce qu'il nous fallait : pas loin d'un enorme avenue, comme ils les aiment ici : Sante Fe ; mais en même temps dans une petite rue tranquille et toute verte, à côte du jardin botanique ce qui va nous permettre de faire quelque peu de jogging pour eliminer toute la viande parsemee de fromage, de bacon et de frites qu'ils ont coutume d'ingurgiter par ici.
On donne sur la cour, pas de bruit mais des putains de moustiques partout ; manque de pot toutes les pharmacies de la ville sont en rupture de stock de crème anti-mosquitos. Vraiment je crois que c'est le seul bemol pour l'instant, ce qui est plutôt bien donc. On est quand même passees par un petite phase de doute quand on s'est aperçues que c'etait relativement complique de mettre la main sur notre fric, les banques se laissent pas faire par ici... Au beau milieu de nos diverses recherches (appartement et fric donc), on pas mal parcouru la ville, et putain ça dechire comme disent les jeunes.
En attendant les stages, on bosse un petit peu les rapports de stages et autres saloperies, pas d'evenement majeur à signaler sinon qu'on kiffe la vibes à mort. Bientôt on va prendre des photos pour vous montrer tout ça !

Muchas buenas

vendredi, octobre 13, 2006

Ce blog n'est pas mort

L'absence a été longue, j'en conviens, mais nous avions des trucs à faire.
Le blog reprendra lorsque le groupe sera à nouveau réuni, en attendant vous pouvez suivre les aventures du crew strasbourgeois sur

www.branchetabranche.blogspot.com

See you!

jeudi, juin 08, 2006

Prostiputes de France

Au cours de périplesdans des galaxies trés trés loin là-bas, avec des noms bizarres comme Loraine ou PACA (nom de code?), j'ai effectué une petite étude anthropologique des moeurs relatives aux filles de joie.

Il semblerait que dans le Nord Est on soit assez portés sur l'officiel, paperasse et rigueur étant les mots d'ordre. Dans une région dévastée par le chômage, l'aristocratie se voit réduite à assumer elle-même le plus vieux métier du monde, mais bénéficie apparemment de la protection de l'Administration. Mission de service public? La Lorraine a fait le choix de la qualité et prends les précautions nécessaires pour éviter des dérives nuisibles à son image de marque.



Le Sud assume un peu plus le côté prosélytisme inhérent à la profession. A Marseille, point de pincettes, le racolage voyant est de mise. La méditerranée n'hésite en effet pas à vanter les mérites de ses produits importés, et les enseignes voyantes du vieux port sont loin de la discrétion nordique. Marketing abusif, publicité mensongère? Marseille opte pour la simplicité et fait usage de slogans directs qui accrochent l'oeil, sans pudeur, avec cette franchise qu'on appréciera toujours chez les gens du Sud.




Et maintenant notre grand jeu : tu préfères une marquise à Nancy ou un bonnasse lyonnaise à Marseille?

NB : "prostipute" copyright Adrien Carpentier; il faut diffuser ces choses-là.

dimanche, mai 28, 2006

Oui oui

Customiser son petit blog fait aussi partie des choses indispensables à expédier avant de faire des révisions de toutes sortes.
Sophie, maintenant que tu es à Mulhouse, peut-être que msn va enfin nous servir vraiment; bonne chance poulette avec les petits nenfants. Ici il ne fait pas trés beau, y'a plus de saisons.

vendredi, mai 19, 2006

Question d'hygiène : les vraies questions


La situation devient critique au niveau du dentrifrice par ici. Aprés l'avoir compressé jusqu'à ce qu'il sue péniblement sa dernière goutte de crème blanche et rose, le tube a fini par être découpé et raclé de l'intérieur. Une fin particulièrement atroce, bien au-delà des pires cauchemards du commun des pâtes dentaires. Nous y voilà, la tension monte à mesure que la réserve de chewing-gums s'épuise car rien n'est éternel, même si le fond des sacs de filles ont des ressources qu'on ne devine mêm pas. Heureusement du côté du papier rose on peut encore tenir un petit peu. Mais il y a un moment ou l'inévitable se produira, et où nous serons contraintes de nous recharger en denrées utilitaires, et par la même occasion de remplir ce gouffre sans fond qu'est le frigidaire; il faut éviter de mettre la tête dedans d'ailleurs, sinon il la bouffe.
La grande question est de savoir jusqu'à quel point le flegme peut l'emporter sur l'hygiène - question d'hygiène s'il en est - et dans quelle mesure la pâte à mâcher au goût de menthe maximisera l'utilité de l'entité "Maire Kuss". Je ferais bien un graphique mais mes compétences en matière de geekeries sont toujours assez réduites malgré des efforts constants; toujours est-il que si des vieux fonds de dentifrices traînent par chez vous, on peut les recycler de manière trés efficace et du coup passer sur une courbe d'indifférence supérieure. En bref tout ira bien mieux pour tout le monde. Ensuite on trouvera une solution pour réduire le chômage mais pour l'instant c'est top secret.

lundi, mai 15, 2006

Des photos! Des photos! Tableau 5

Troisième partie: Arrivée du chef de la police
Coko, Louise et Tiphaine
Non mais quelle chiennasse cette Irma! Sur chaque photo, elle fricote avec un autre!! Mais pour lequel va-t'elle succomber?...


Les photos!! Enfin!! Tableau 5


Première partie: Irma et Carmen
Tiphaine et Louise





Toujours Tiphaine et Louise
(mais vous noterez au passage le changement de position)





Deuxième partie: arrivée d'Arthur
Tiphaine, Stéphane et Louise
(Là encore, observons les positions...waouh c'est travaillé!)

Exclusif!! Les photos des stars!!


Tableau 1: L'évêque, Irma et la fille
Louise, Arnaud et Stéphanie





Tableau 2: Le juge, le bourreau et la voleuse
Stéphane, Anaïs et Jérôme





Tableau 3: Le général et la fille rousse
Dimitri et Marie